La confrérie des Eveillés

La confrérie des Eveillés

La pandémie C19, illusion ou réalité ?

Salamou Aleikoum, Bonsoir à tous, Un saludo a todos, Dobry den, Guten Abend, Grettings to all,

 

 

La confrérie des éveillés est heureuse de vous retrouver tous en bonne santé nous l'espérons ainsi que vos proches. Le thème que nous allons aborder ce jour est un thème d'actualité très sensible et très délicat sur plusieurs aspects. Nous avons longtemps souhaité prendre le temps du recul, néanmoins confronté à l'évidence du caractère de long-terme, il nous a semblé judicieux de proposer un bilan de parcours après deux ans.

 

Délicat car nos compétences ne couvrent pas ces domaines précis de la science que sont la virologie et l'épidémiologie.

Délicat car nous échangerons sur un évènement encours et dynamique et que nul ne connait l'avenir.

Délicat car le sujet est planétaire et que de ce fait le tableau général que nous brosserons souffrira d'une imperfection de principe conséquence des différentes approches et d'impacts de la C19.

Délicat car les statistiques ne valent que ce qu'elles valent.

Le sujet sera donc abordé par l'intermédiaire de la logique, du bon sens, et de la confrontation des points de vue.

 

"La dernière démarche de la raison est de reconnaitre qu'il y a une infinité de choses qui la surpassent. Elle est bien faible si elle ne va pas jusque là". Pascal

 

Sur le plan sanitaire/santé publique, il est tout d'abord utile de rappeler que des standards d'intervention et de réaction internationaux existent pour des situations de ce type et que tous prévoient l'application d'un processus classique de mesures :

 

- Un système de surveillance

- Des mesures de type Détecter/Isoler/Traiter

- Des mesures préventives de type santé publique prophylactique

- Des mesures préventives de type vaccin sur toute ou partie de la population fonction du niveau de sensibilité

- Des mesures curatives de type hospitalisation avec un renforcement des capacités par mutualisation/réquisition des moyens public/privé/médecine générale voire leurs extensions et des recrutements

- En dernier ressort et extrême urgence, des mesures collectives de prévention/restriction comme le confinement, masque, et autres distanciations.

 

En somme, ce n'est ni la première, ni la dernière épidémie à laquelle nous serons confrontés.

 

Scientifiquement et dans l'acceptation humble de ce que, le connu est à l'inconnu ce qu'est le microcosme face au macrocosme, des faits s'imposent empiriquement.

 

1- Les seuls indicateurs qui font foi sont, le taux de létalité corrélé au décès, et le taux d'hospitalisation en réanimation corrélé aux formes sévères.

2-La C19 avec 5 million de décès sur deux ans se classe au niveau deux IGP de la gravité des épidémies qui en compte cinq selon le CDC avec un taux de létalité compris entre 0,1 et 0,5% identique à la grippe asiatique de 1958 ou de Hong-Kong de 1968. Par comparaison la grippe saisonnière est classée au niveau un avec un taux de létalité inférieur à 0,1%. Ledit taux oscille entre 0,2% pour les pays les plus touchés (USA, Brésil) et moins de  0,02% pour les pays les moins touchés.

 

CDC_Pandemic_severity_index.png

 

3-La contagiosité de la C19 se classe entre 2 et 4 en comparaison avec la rougeole à 12-18, la variole/polio à 5-7, le VIH entre 2-5, et la grippe à 2-3.

 

4ced19e450_50159808_contagion-virus-statista.jpg

 

4-Plus de 80% des formes sont asymptomatiques donc inexistantes : porteurs mais pas malades.

5-Les formes sévères de la C19 touche à plus de 85% les personnes âgées de plus de 65 ans et l'âge moyen des décès se situe aux alentours de 82 ans.

6-En ce qui concerne les séquelles de la C19 que cela soit sur des formes sévères ou moins sévères, elles sont avérés selon les témoignages, mais leurs amplitudes et profondeurs restent à documenter. 

6-La C19 comme la grippe mute, elle est plus ou moins virulente selon les saisons, elle reste néanmoins active l'été.

7-Le monde est touchée de manière inégale, notamment très peu l'Afrique et l'Asie du Sud-Est, pour des raisons et des facteurs non maitrisés aujourd'hui.

 

COVID-19_Outbreak_World_Map.svg.png

 

8-Les thérapies préventives prophylactiques ont démontré leurs efficacités sur plus de la moitié de la planète notamment en Afrique et en Asie.

9-Les vaccins sont en phase trois c'est à dire en phase expérimentale avant la phase quatre dite de mise sur le marché.

10-Une géopolitique des vaccins c'est mise en place pour des raisons inconnues et à contre courant du bons sens.

11-Huit milliard de doses administrées à ce jour en majorité dans les pays développés.

12-Il est avéré que les vaccins n'empêchent pas d'être contaminé contrairement à la variole (immunité stérilisante versus effective).

13-Il est avéré que les vaccins n'empêchent pas d'être malade, néanmoins un consensus plus ou moins étayé se dégage sur leurs capacités à réduire les formes graves.

14-Il est avéré que les vaccins n'empêchent pas de contaminer, néanmoins certains scientifiques jugent qu'ils réduisent le facteur.

15-Les effets des vaccins, tant sur le plan de la protection contre la contamination, contre les formes graves, et contre la propagation diminuent avec le temps. On évalue la période d'effectivité à moins de six mois.

16-Il est avéré que certains des vaccins voire tous présentent des effets secondaires plus ou moins affirmés. Ainsi en Europe, on dénombre officiellement 25 000 morts des suites des effets secondaires.

17-En ce qui concerne l'immunité naturelle acquise après la contraction de la C19, les études tendent à prouver que sa durée s'inscrit entre 12 et 24 mois.

18-La taille du marché potentiel des vaccins se chiffre entre 100 à 200 milliard de $ annuel.

19-L'évolution des décès est en baisse tendancielle, depuis plusieurs mois de 100 000 à 50 000/semaine, décorrélée des contaminations depuis la quatrième vague de l'été 2021.

 

Capture d’écran 2021-12-04 150052.png

 

20-Il est admis dans le monde des spécialistes que les épidémies de ce type ont tendance à perdre en létalité au profit de la contagiosité avec le temps sans préjudice de cas contraire à l'instar de la grippe.

 

 

De ces constats factuels, des conclusions s'imposent à contre sens des discours et politiques en place.

 

Le niveau IGP de l'épidémie ne nécessite en aucun cas le recours aux mesures extrêmes que nous observons.

 

Le mythe de la disparition de la C19 par suite des effets de la vaccination ou par l'acquisition d'une immunité collective est démenti par les faits. L'immunité collective si elle existe, n'est au mieux qu'effective et pourrait s'obtenir tant par une politique vaccinale avec une résilience en question, que de libre circulation du virus pour une protection plus longue et avec des taux de décès somme toutes du même ordre de grandeur comme le prouve l'exemple de la Suède

 

La saturation des systèmes de santé relève à priori du mythe également dans le sens ou les chiffres issues du terrain tendent à démontrer que même lors du pic du deuxième trimestre 2020, les entrés en soins intensifs restaient de 3/4 inférieur au pire pic de la grippe constaté par le passé (cas de la France). Si saturation il y'a, elle est antérieure au phénomène.

 

Les campagnes de vaccination qui visent le 100% de vaccinés sont condamnées à l'échec du fait de la variance du virus, de leurs périodes effectives courtes, et du fait de leurs stades faut-il le rappeler encore expérimentaux aujourd'hui. Sur ce point, la tendance à vouloir vacciner les enfants asymptomatiques à 99,99999999% relève de l'absurde.

 

Une réponse potentiellement pertinente à la C19 consisterait en l'application du plan initialement présenté sur les catégories les plus fragiles en l'occurrence les plus de 65 ans, et une politique de préventif/curatif pour le reste de la population dont la mortalité du fait de la C19 est inférieure à 0,1% donc de niveau un IGP comme la grippe.

 

Enfin et pour conclure, la convergence des pouvoirs politiques avec les pouvoirs scientifiques sanitaires et leurs représentants économiques est contraire à tous les principes de bonnes gouvernances et de séparation des pouvoirs.

 

La science qui depuis les lumières était devenu la religion ultime sous le qualificatif de "progrès" se retrouve confrontée aux mêmes démons que ses prédécesseurs.

 

Ses plus illustres représentants à genoux devant Hyppocrate sont potentiellement parjures : « En présence des maîtres de cette École et devant l'effigie d'Hippocrate, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité dans l'exercice de la médecine. Je donnerai mes soins gratuits à l'indigent et n'exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail. Admis dans l'intérieur des maisons, mes yeux ne verront pas ce qui s'y passe, ma langue taira les secrets qui me seront confiés, et mon état ne servira pas à corrompre les mœurs ni à favoriser le crime. Respectueux et reconnaissant envers mes maîtres, je rendrai à leurs enfants l'instruction que j'ai reçue de leurs pères. Que les hommes m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ! Que je sois couvert d'opprobre et méprisé de mes confrères si j'y manque ! ».

 

1002937-Hippocrate.jpg

 

Les causes de ce à quoi nous assistons sont encore obscures, nul doute que le temps lèvera le voile et permettra à la vérité d'apparaitre.

 

" Les savants et les sages les plus illustres ont cheminé dans les ténèbres de l'ignorance.
Pourtant, ils étaient les flambeaux de leur époque.
Ce qu'ils ont fait ?
Ils ont prononcé quelques phrases confuses, et ils se sont endormis." O.K

 

Dans l'espoir que ce texte sera utile à un retour à la sagesse, au bon sens, à la mesure, et à l'éthique humaine et médicale.

 

Tahiyatina

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



02/12/2021
0 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 75 autres membres